Les friches industrielles, zones oubliées des mutations économiques, délaissées du rythme animé des activités ouvrières, deviennent parfois les lieux de pratiques alternatives.
Le calme discret de ces espaces désertés aux volumes monumentaux en fait un territoire propice à l’expression des artistes du street-art.
Ils peuvent y œuvrer en toute tranquillité, – loin de l’urgence de la rue et de l’illégalité de leurs pratiques dans les espaces publics -, transformant les bâtiments désaffectés en zones de libre expression.
Série de photographies noir&blanc et couleur Tirage sur Alu Dibond et sur bâches
vueS d’exposition
Tirages originaux limités à 5 exemplaires Autres formats et supports sur demande.